La petite fille d’un marchand
Ignorait tout en marchant
Un chemin nouvellement boisé
Malgré tout de son plein gré
Ne faisant pas attention
Pilant sur toutes les pousses
Surprise par un gros taon
Elle eût une immense frousse
Courant dans tous les sens
Tout en écrasant des conifères
Elle feuillu tomber sur une fougère
Mais trop forte était la cadence
Déboulant toute la pente
Le roc allait bientôt arriver
Plus morte que vivante
La nature s’était vengée