Cher François, J’en était à me questionner sur ma position concernant la beauté du billet de Gilles et je m’apprêtais à écrire ceci: JE ME MÉFIE DE LA BEAUTÉ. Bon c’est fait. L’industrie peut-elle manufacturer le beau? Je me méfie de l’industrie. Son mandat et le profit. Le profit s’obtient par un faible bénefice à grande échelle ou un grand bénefice à petite échelle? C’est clair que les Sony de ce monde optent pour la première hypothèse. On formate, homogénise et "F.M.ise"
mince, on me pique ma reponse … le Pop Art bien entendu … andy Warhol entre autre insistait bien sur le fait que l’objet artistique n’est pas unique. L’art a tout le monde en quelque sorte ou l’art dans la rue
Cher François, J’en était à me questionner sur ma position concernant la beauté du billet de Gilles et je m’apprêtais à écrire ceci: JE ME MÉFIE DE LA BEAUTÉ. Bon c’est fait. L’industrie peut-elle manufacturer le beau? Je me méfie de l’industrie. Son mandat et le profit. Le profit s’obtient par un faible bénefice à grande échelle ou un grand bénefice à petite échelle? C’est clair que les Sony de ce monde optent pour la première hypothèse. On formate, homogénise et "F.M.ise"
Parlons-nous toujours de "l’art" dans ce cas? Quelle est donc cette forme de production alors?
Produit de consommation. La soupe Campbell d’Andy Warhol…
mince, on me pique ma reponse … le Pop Art bien entendu … andy Warhol entre autre insistait bien sur le fait que l’objet artistique n’est pas unique. L’art a tout le monde en quelque sorte ou l’art dans la rue