Ce matin, j’apprends que l’un des auteurs de BD qui a marqué ma vie depuis mon adolescence est décédé ce vendredi 1er mars. Je suis peiné d’apprendre sa disparition à son si jeune âge, 68 ans. C’est beaucoup trop jeune alors qu’il semblait avoir une carrière toujours active et prolifique. Il avait déjà passé le flambeau quant aux dessins de Dragon ball Super (Toyotarō) et Dragon ball SD (Naho Ooishi), mais en était toujours le scénariste.
Avec l’arrivée de la nouvelle télésérie Dragon ball Daima cette automne, j’ai eu le goût de revivre ma hype de jeune adulte et de me replonger dans la lecture d’une des séries qui m’a le plus marquée. Depuis plus d’une semaine, je me suis procuré et lu Dragon ball Super en manga. J’avais précédemment écouté la série animée, laquelle datait déjà (2015 – 2018) à l’époque, et cela m’avait redonné le goût de me plonger dans la lecture du matériel imprimé. Bref, Toriyama était revenu dans ma vie, à mon plus grand plaisir.
Derrière l’apparence simpliste des scénarios de Dragon ball se cache une complexité et une profondeur de personnages plus qu’intéressante. On y apprend, entre autres, des leçons de vie importantes telles que le dépassement de soi, l’importance de l’amitié, la force dans la solidarité, la grandeur dans l’adversité, l’importance du mentorat, l’atteinte de la rédemption et du pardon.
Toriyama, j’aurai un grand plaisir à partager ton œuvre avec mes enfants, lesquels, je l’espère, apprécieront tes histoires autant que je les ai aimées.
Merci encore.